Comment devenir traducteur technique ?

devenir traducteur technique

Être traducteur technique, c’est se démarquer d’un simple traducteur. Ce métier consiste à traduire des documents spécifiques. Ceux que tout le monde ne peut pas forcément comprendre. Voilà pourquoi une formation appropriée est exigée pour remplir dans les meilleures conditions chaque mission de traduction technique. C’est-à-dire, la traduction des documents d’ordre scientifique, médical ou encore commercial. Seul un traducteur technique détenant une spécialisation dans un domaine indiqué est capable de réaliser une traduction de qualité.

Mission d’un traducteur technique

Des traductions spécialisées sont requises pour traduire certains documents en langue étrangère. Cela est nécessaire quand les documents n’ont pas d’équivalent en français, ou des documents en français qui doivent être traduits en une autre langue étrangère. Une traduction est donc utile dans les deux cas. Cela peut concerner de nombreux domaines. Et l’intervention d’un traducteur professionnel est recommandée car il est spécialisé dans un ou plusieurs domaines. Comme on ne doit pas compter sur une traduction littérale, c’est là qu’on peut mettre en avant les connaissances d’un traducteur technique. Sa maîtrise du sujet permet d’obtenir une traduction professionnelle claire et précise de tous les documents, cliquez ici pour en savoir plus.

Quelles sont les qualités requises ?

En tant que traducteur professionnel qui se démarque des autres traducteurs, un traducteur dispose d’un profil double. Il doit avoir un esprit technique et littéraire pour exercer son métier. La curiosité est son atout car en s’intéressant davantage sur son domaine de connaissance. De cette manière, il augmente ses chances de dénicher du travail. Il est dans son intérêt d’avoir des facilités d’écriture et bien évidemment, il doit être excellent en langue. En mélangeant ces qualités, il est un traducteur habile. Si l’anglais est le plus exigé, on parle surtout d’un anglais technique. Pour se faire un nom, il faut ajouter d’autres langues comme le chinois ou encore l’allemand. En se spécialisant, on gagne plus de points par rapport aux autres traducteurs. À part cela, un traducteur spécialisé se doit d’être rigoureux et organisé. Une bonne culture générale est indispensable même si on dit souvent qu’il faut se spécialiser dans un ou plusieurs domaines.

Formation nécessaire et contexte pour exercer le métier

On est de suite amené à croire que le métier de traducteur requiert un bac L. Mais comme le métier de traducteur technique implique plusieurs connaissances techniques, cette profession est aussi ouverte aux titulaires d’un bac ES ou S. Il faut juste qu’on sache qu’on va faire face à des études très sélectives. On a le choix entre deux filières : master professionnel en traduction spécialisée ou un diplôme d’école de traduction. On doit au moins avoir un niveau bac+3 pour pouvoir participer aux concours de la fonction publique. On constate que très peu de littéraires prévoyant une carrière de traducteur envisagent d’être traducteur technique. Pourtant, ce métier octroie largement des perspectives d’emploi par rapport à la traduction classique. Cela ne signifie pas pour autant qu’il est plus simple d’intégrer le monde professionnel. Il y a l’édition qui se présente comme employeur potentiel, mais on peut aussi se tourner vers les entreprises qui sont à la recherche de traducteurs techniques pour traduire leurs documents. On peut également postuler auprès de la fonction publique. Mais cela demande une connaissance minimum du fonctionnement de l’administration. Il y a une possibilité d’évolution de carrière, par exemple devenir traducteur-interprète ou traducteur interprète assermenté. Pour avoir des missions variées, l’idéal est de rejoindre une agence de traduction. De cette façon, on reçoit des missions ponctuelles et bien payées. Sinon, on peut toujours travailler en freelance et évoluer en faisant de la rédaction web. Pour cela, il vaut mieux élargir son réseau.

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