X démarches à faire après le décès d’un proche

faire-part décès

Le décès d’un parent ou d’un proche est souvent un moment difficile pendant lequel l’on a besoin d’être soutenu. Ce soutien sera nécessaire, tant pour accomplir les démarches légales et administratives, que pour organiser les obsèques. Il n’est donc pas superflu de s’adresser à un organisme spécialisé afin d’obtenir un accompagnement dans la réalisation de certaines démarches. Voici 4 choses que vous devrez accomplir après la disparition d’un de vos proches.


Choisir une date pour les obsèques

En France, la loi impose d’organiser les obsèques d’un défunt au moins 24 h après le décès et avant six jours ouvrables. En cas de situation particulière, il est possible, pour la famille, d’obtenir un délai supplémentaire, faisant ainsi exception à la règle. Dans tous les cas, la définition d’une date est généralement suivie de la réalisation des faire-part de décès. Cette démarche est indispensable puisqu’elle vous permet d’informer les membres de la famille proches et éloignés, ainsi que les collègues, amis et connaissances du défunt.


Informer la famille et les amis

Après le décès d’un proche, il est nécessaire d’en informer les personnes que ce dernier connaissait. Cette information peut prendre la forme d’un avis de décès ou d’obsèques ou d’un faire-part de décès. Le choix du mode de diffusion revient donc à la famille ou aux proches du défunt. Sur des sites spécialisés comme carteland.com, des professionnels bienveillants et sympathiques sont disposés à vous assister et vous accompagner dans les meilleures conditions. Ces derniers sont notamment spécialisés dans la réalisation de faire-part pour différents événements, et ils pourront vous proposer un service efficace et plutôt rapide. Le faire-part de décès permet d’annoncer l’organisation des funérailles aux personnes concernées. C’est aussi le moyen idéal pour les inviter à une éventuelle réception pour un moment de partage et d’échange en l’honneur du disparu. En outre, il aide à donner un caractère solennel à votre événement, qu’il s’agisse de simples obsèques ou d’une cérémonie beaucoup plus grandiose.


Organiser les obsèques

L’organisation des obsèques revient à choisir une sépulture pour le défunt et à lui organiser des funérailles sobres ou imposantes. Dans certains cas, le défunt peut opter pour une assurance obsèques avant sa disparition. Dans cette hypothèse, il peut avoir défini diverses modalités pour son propre enterrement. Il reviendra alors à la famille, de suivre lesdites exigences en accord avec les volontés de leur proche. En règle générale, deux types d’enterrements sont réalisés en France : l’inhumation et la crémation.


L’inhumation

Dans le premier cas, l’enterrement peut être organisé dans le cimetière de la commune de résidence principale du défunt. Ce dernier peut aussi être enterré dans la commune de sa résidence secondaire, sous certaines conditions. En outre, il peut aussi être inhumé dans la commune où le décès est survenu ou encore, dans la commune où se situe le caveau familial. Dans tous les cas, il revient aux proches d’adresser une demande à la mairie concernée, pour choisir l’emplacement de la sépulture. Il convient de noter que lorsque les revenus d’une personne ne permettent pas de couvrir ses obsèques, la mairie peut autoriser son inhumation sur un terrain communal, pour une certaine durée.


La crémation

Dans le cas où le défunt souhaitait que son corps soit incinéré après sa mort, la mairie doit également délivrer une autorisation de crémation. Vous pourrez ensuite vous rapprocher d’un organisme qui réalise ce type de prestation afin d’en définir les modalités. Les cendres du disparu seront alors conservées dans une urne funéraire, puis déposées dans le caveau familial, dans un jardin du souvenir ou dans un columbarium. De même, elles peuvent être dispersées dans la nature, si le défunt l’avait précisé dans son testament ou si la famille le souhaite.


Réaliser les démarches administratives et bancaires

Si la personne décédée travaillait dans une entreprise privée ou dans un organisme public, il est nécessaire d’informer son employeur dans les 48 h qui suivent le décès. L’employeur pourra alors vous délivrer une attestation de fin du contrat de travail, puis définir le solde du salaire et les indemnités de votre proche. Il revient aussi à l’employeur de vous indiquer le nom de la caisse de retraite et des organismes de prévoyance qui ont reçu les cotisations du décédé pendant sa période d’activité. Par ailleurs, vous devez aussi vous rapprocher des organismes d’allocations chômage et des caisses de retraite, suivant l’ancienne situation de votre proche décédé. Enfin, s’il était employeur, il revient à ses héritiers d’échanger sur le futur de son entreprise et le devenir de ses employés. Pour finir, vous devez aussi vous rapprocher des banques auprès desquelles votre parent avait ouvert des comptes, en vue de les faire bloquer. Lesdits comptes pourront être débloqués après le règlement de la succession, qui nécessite souvent de faire appel à un notaire.